Malgré que l'affection primordial à l'acquisition d'un bateau, assurez-vous que celle-ci ne soit pas simplement en raison du coût du bateau. Et même si vous devez faire attention à vos ressource financières, il est recommandé d'opter pour un plus petit navire, mais de grande qualité, plutôt qu'un bateau plus grand, mais de inférieur qualité. Fiez-vous à des marques reconnues telles que Princecraft, Four Winns, Mercury, etc. qui ont bâti leur popularité par la fiabilité de leur appareil et de leur architecture. Même, acheter d'un confectioneur expert pourra vous éviter bien des inquiétudes quand votre véhicule prendra de l'âge!

Vous avez considéré tous vos nécessités et les divers agents apte de influencer sur le genre de navire que vous voulez obtenir. Il est désormais le moment de magasiner! Tout comme n'importe quel acquisition de cette ampleur, visitez plusieurs concessionnaires ou particuliers, comparez, raisonnez… Veillez à obtenir la meilleure proposition possible pour votre prochain financement. Ainsi, vous profiterez encore plus des plaisirs nautiques en sachant que vous avez fait un choix sage!

Il est aussi très nécessaire de prévoir où vous entreposerez votre bateau lors de la saison froide, parce que cela pourrait influer sur vos fonds annuels réservé à votre embarcation navale. Si vous prévoyez emmagasiner vous-même votre bateau, assurez-vous de le faire à l'intérieur et dans un gîte prévu à cet effet ou dans un shrink wrap. Plusieurs dépositaires de bateaux vous proposent aussi le service d'entreposage qui peut se montrer des plus appropriés si vous n'avez pas l'espace et les équipement obligatoires au rangement de votre bateau une fois l'hiver à nos portes! Enfin, avant le remisage annuel de votre bateau, utilisez les produits indiqués par votre concessionnaire ou prenez un rendez-vous avec celui-ci pour vous affirmer de la bonne activité de votre bateau la saison prochaine. Centre Nautique Memphrémagog offre leservice d'entreposage de bateau, consultez-le!



L'utilisation de la transportation Maritime a changé le commerce


Le transport marin est le moyen de transport le plus important pour le transport de produits (marine marchande). La transportation de personnes via moyen maritime a perdu plein d'importance du fait de l'essor de l'aéronautique commerciale; il subsiste de façon significative dans seulement deux créneaux importants : les voyages courts et les croisières. On peut y ajouter afin d'être complet les excursions de recherches scientifiques et les compétitions sportives, qui ne relèvent après tout pas à correctement parler du transport.
Le transport maritime est par nature international, sauf parfois dans ses fonctions de cabotage le long des côtes d'un pays.

La transportation maritime consiste à déplacer des produits ou des voyageurs pour l'important par moyen maritime , même si, exceptionnelement le transporteur maritime peut prendre en charge le pré-acheminement ou post-acheminement (positionnement d'un conteneur chez le chargeur et son expédition au port, par exemple). Un tel voyage sera chargé par un connaissement dans le cadre de la ligne régulière ou d'un engagement de chargement dans le cadre d'un service de tramping

Depuis le milieu des années soixante, un nouveau marché de transportation via voie maritime s'est développée: celui des conteneurs maritimes. D'une taille standardisée: 20 ou 40 pieds, ces « boîtes » ont aperçu un développement éclatant, renversant à la fois le mode de transport mais autant toute la chaîne logistique depuis le approvisionneur jusqu'au client final. Transport routier, ferroviaire ou même aérien se sont adaptés afin de faire de ces boîtes une « unité de transport intermodal ». La marchandise, une fois empaillés en conteneur, ne subit plus d'autre manipulation jusqu'à son destinataire final. Ce qui est manipulé est ainsi le conteneur seulement, réduisant alors les ruptures de charges.


La marine de bataille, armedécisive dans beaucoup combats internationaux

Un bateau de guerre est un navire militaire. Il peut être unnavire de surface ou un submersible . Les bâtiments de combat, disposent de systèmes armements leur donnant la possiblité d'attaquer, de se proteger ou défendre d'autres troupes comme les navires d'appui ou auxiliaires, quelques dotés de systèmes d'auto-défense ou absolument privés d'armes. Dans la marine française, on emploie fréquament le terme de bâtiment, mais quelques fois de même celui de navire, de bateau ou d'unité. Le mot de vaisseau (autrefois gros navire à voiles), très emphatique, n'est plus utilisé par les marins pour nommer un navire moderne.
Elle permet de faire une action militaire en mer ou depuis la mer; elle peut aussi être chargée en moment de paix de réaliser des actions civiles en mer tel des missions de sécutrité et de garde, d'aide et d’assistance, de combat face aux trafics, de prévention et de traitement des pollutions, missions hydrographiques, etc.

Une extraordinaire marine moderne se développe dans quatre dimensions: en dessous de la mer, à la surface de la mer, dans l’air et dans l’espace (via la voie de missiles balistiques et de satellites). Elle est fabriquée de bâtiments de guerre, dirigeables et d'établissement à terre (de d'ordre, de secours et de transmission), ainsi que d’un personnel civil et militaire d’une très grande différence de professions et de branches.

Beaucoup d'États ont des garde côtes qui ont le rôle d'une marine militaire. Les spécialités recouvrent tout les rôles nécessaires au fonctionnement d'un bâtiment et d'un aéronef de conflit moderne, et aux opérationsmaritimes. Le nombre de branches change avec le niveau d'aptitude: très variés au niveau des agents et des ingénieurs, elles sont limitées à une dizaine pour les officiers inférieurs et ne sont en général plus trop significatives en termes d'emploi pour les chef supérieurs et généraux.



Le voyage maritime, activités humaines de transport sur les mers

Dès qu'il a eu la possibilité de prendre la mer, l'homme a optimisé des technologie de voyage reposant sur l'observation du littoral: les techniques de navigation en vue de terre sont à nos jours continuellement utilisées pendant que le navire est proche de la terre. Il est question reconnaître des endroits remarquables le long des côtes - amers naturels ou artificiels, balises et de nuit les feux des phares et des balises - de constater leur direction avec un compas de relèvement, et de reporter ces relevés sur un plan marin. Le relevé de trois amers (triangulation) donne la possibilité au voyageur de reconnaître sa position et de réviser son cap en conséquence.

La navigation approximativement est la méthode qui consiste à déduire sa place de son chemin et de la distance parcourue dès la dernière place connue. Habituellement, cette méthode repose sur les outils évaluant sa direction (compas), sa vitesse (loch, tachymètre, badin…) et la durée (chronomètre) ainsi qu'avec l'évaluation éventuelle (ou le calcul) de autorité de l'environnement (courant, vent) sur sa marche.

Très vite, l'être humain a conclu que le mouvement des astres (soleil, étoiles, lune) ayant la possibilité être déterminé à l'avance et donner des indications certaines sur la place de l'observateur. L'élaboration de certains instruments ayant la possibilité de relever la hauteur d'un astre au-dessus de l'horizon, duquel le plus réussi est le sextant, a donner la possibilité au navigateur de reconnaître sa latitude. Les améliorations dans l'horlogerie, en procurant au voyageur un référentiel horaire stable, ont permis de calculer avec une précision progressive, la longitude. Le voyage astronomique exige de savoir déterminer les astres, utiliser un sextant, chercher des éphémérides et exécuter des estimations qui permettent de recaler la situation estimée du bâtiment.



Le compas chavire le voyage naval

La cuillère tourne, pointant son manche vers le sud. Il ne reste qu'à appliquer les lois du feng shui, la géomancie chinoise, pour connaître la direction la meilleure pour la tombe ou le palace. L'invention de la boussole ne doit rien au rêve d'explorer, elle a été conditionnée par les astrologues taoïstes afin d'inscrire harmonieusement les constructions humaines au sein d'une nature parcourue de courants telluriques.

Avant l'introduction de la boussole, la navigation en mer se fait notamment par le voyage célestiel (l'expression « célestiel » pointant sur l'approche divine de l'astronomie). Les obstacles se montrent quand les conditions atmosphériques ne donnent pas la possibilité d'apercevoir les astres.
Les Arabes peuvent en général compter sur un ciel clair pour naviguer dans le golfe Persique et l'océan Indien. Les marins en mer Baltique font une utilisation étendue des sondages. Dans le bassin méditerranéen, toutefois, dès l'antiquité, les voyages maritimes ne se font pas entre octobre et avril, du fait de l'absence de ciel clair pendant l'hiver méditerranéen.

Joseph Needham, dans La Science chinoise et l’Occident, estime que les Chinois déjà la pierre magnétique deux siècles avant J.-C.7. L'aiguille aimantée est mentionnée depuis le 2e siècle av. J.-C. dans le Huai Nan Wan Pi Shu. Elle s'introduit en pratique en Chine au vie voire au 4e siècle. Il est possible quelle détrône la magnétite au temps des dynasties Sui ou Tang

Généralement, il y a une longue et lente évolution en Chine, suivie d'une arrivée soudaine et d'une progression plus rapide en Occident. Pour le moment, rien ne permet de connaître si la transmission s'est produite dans un encadrement maritime ou par un chemin terrestre, par des astronomes et des géographes employant la boussole pour connaître le méridien. En revanche au XVIIe siècle encore, les aiguillons des compas dont tirent profit les topographes européens montrent le sud, comme les boussoles chinoises.


Le Gouvernail sur le navire employé pour la première fois en Chine

L'existence du gouvernail est attestée en chine, suivant Joseph Needham, toujours dans La Science chinoise et l’Occident, depuis le premier siècle avant Jésus-Christ tandis qu'en Occident les plus ancienne marques de son emploie ne datent pas au-delà du XIIe siècle de notre âge.

Il y a 5000 ans, les Égyptiens gouvernent leurs embarcation à l'aide de pagaies retenues via l'unique force humaine, comme en témoigne la barque solaire, ou encore les illustrations du Moyen Empire égyptien il y a 4000 ans. Beaucoup de peintures, comme celle du tombeau de Menna, laissent pourtant franchement penser que la pagaie, sur-dimensionnée, est fixée à la quille. Mais on peut difficilement aussi parler de gouvernail à vrai dire.

Dès le début du cinquième siècle av. J.-C. la marine athénienne n'est presque encore équipée que de pentécontères et de triacontères, par contre la guerre qu'elle mène face au risque perse lui exige de moderniser ses embarcations. En -482 Thémistocle lance un large programme pour renouveler la flotte, ces navires ne sont pontés qu'un demi-siècle plus tard. La trière grecque est graduellement équipée d'une ébauche de gouvernail, sorte de pagaie à la forme différente, de petite efficacité en mer, les rameurs résidant l'essentielle puissance de manœuvre. D'après Polyen et au moins par intempérie, la trirème est équipée de deux gouvernails, le second placé vers la proue.

Le gouvernail d'étambot parvient en Europe à la fin du 1er millénaire, là encore via les Arabes. en premier lieu manié à la main avec une simple barre, il est brièvement assisté par un jeu de roues et de cordages pour démultiplier la force du barreur, ensuite sur les plus gros bâtiments par une « manuelle », moyen de démultiplication balistique à levier de l'effort sur la barre. Ce n'est que dans le courant du 18e siècle qu'apparaîtra sur les plus grands vaisseaux la barre à roue avec son tambour, et les thoniers dundee de la première moitié du 20e siècle emploient toujours une simple barre de gouvernail.





Le bateau-mouche a protégé le transport maritime

Un bateau-mouche est un genre de bateau-bus utilisé pour le voyage fluvial à Paris ainsi qu'à Lyon, d'où il est originaire. En France, le mot « Bateaux Mouches » est une marque déposée et enregistrée depuis 1950 par la « Compagnie des Bateaux Mouches », notamment sous les numéros 1092478 et 1611120, pour marquer des services de randonnée touristique.

Le terme bateau-mouche (au pluriel bateaux-mouches) se trouvait au dix-neuvième siècle pour désigner des navires qui n’avaient qu’un but pratique, et ne servaient qu'a la transportation de marchandises et par occasion de passagers d'une place vers une autre sur différents fleuves et canaux.
Ces bateaux n’avaient jamais été employés dans un encadrement touristique, ni pour des randonnées partant d’un site pour y revenir.

C'est à l'occasion de la présentation universelle de 1867 que les anciens bateaux-mouches firent leur apparition dans la capitale. Grâce à un concours lancé par les organisateurs de la présentation, l'architecte naval lyonnais Michel Félizat (collègue avec d'autres lyonnais) obtint le prix et achemina par la Saône, le canal de Bourgogne, l'Yonne et la Seine, une trentaine d'exemples de ses navires à voyageurs construits dans ses fabriques implantées dans le quartier de la Mouche (d'où leur nom), au sud de Lyon (du côté de Gerland). La ligne unique de la compagnie des Bateaux-Omnibus a transporté plus de 2,5 millions de voyageurs durant l'exposition.

A la suite de la Seconde Guerre mondiale, tandis que le transport fluvial de passagers mourait au profit des transports terrestres (voies sur berges) ou souterrains (Métropolitains), Jean Bruel (1917-2003), auteur de la Compagnie des Bateaux Mouches, a reçu un des derniers navires ayant été crées pour l’exposition universelle, afin de présenter des randonnées touristiques sur la Seine. De cette nouvelle idée, Jean Bruel a donner la vie à une nouvelle activité, et déposa la marque-dénomination « Bateaux Mouches » dès 1950.



L'hydrodynamisme est quelque chose essentielle dans la navigation

L'avancée d'un navire est contrecarrée par la résistance de l'eau. Cette résistance peut être partagée en différents composants composants dont les essentielles sont la friction de l'eau sur la coque et la formation de vagues. Pour diminuer le frottement et en conséquence accroître la rapidité pour une puissance donnée, il faut réduire la façade immergée et utiliser des figures de carcasse créant des vagues d'ampleur inférieur. Pour cela, les navires rapides sont généralement plus fins, avec des extrémités de taille plus réduite; la friction de l'eau est également réduite par un entretien régulier de la coque sur laquelle se quittent des animaux et des algues, en l'enduisant d'un antifouling. La résistance de vague peut être réduite par l'addition d'un bulbe d'étrave et par des figures régulières et fines.

Pourtant, la résistance à la progression grandit très rapidement pour un navire à mouvement lorsque le nombre de Froude atteint 0,4; pour devancer cette vitesse, il faut soit réduire le poids et affiner la coque soit utiliser une portance dynamique supplémentaire donnant la possibilité à la coque de « déjauger » et de réduire la résistance

Pour les gros projets, ayant un financement approprié, le frottement hydrodynamique peut être testée dans bassine d'expérimentation des carènes ou en employant la simulation numérique.

Le bâtiment souffre aussi des agitations dus à son déplacement dans l'eau: ces mouvements ont la possibilité d'être fatigants pour les voyageurs et pour le matériel et doivent être maîtrisés si c'est possible. Le roulis peut être diminué par une quille de roulis, par des ailerons stabilisateurs ou par un système de poids; le le tangage est plus pénible à réduire et peut s'avérer être risqué si l'avant du bateau martèle dans les vagues, phénomène nommé tossage. C'est habituellement au niveau de la perception que le style de coque est optimisée pour cela; lors de la navigation, c'est le centrage des poids, le matossage, et le changement de route (ou d'allure) qui permet de baisser les mouvements.



La longévité des cargos


Un cargo a une durée de vie comprise entre 20 et trente ans17; un voilier en toc peut tenir entre 30 et quarante ans, approximativement comme un navire en plastique. Les navires en bois bordé sur membrure ont une durée de vie virtuellement infinie, n'importe quelle morceau de leur structure peut être remplacée: le plus vieux grand voilier en bonne condition est le HMS Victory (lancé en 1765, et mis en cale sèche en 1920), le plus ancien grand voilier encore à flot et navigable est le USS Constitution (lancé en 1797). Les navires en fer peuvent fréquemment dépasser la centaine d'années (les embarcations en acier, plus résistantes mécaniquement le sont beaucoup moins face à l'abrasion): le plus vieux grand voilier en fer est l'Elissa (lancé en 1877 et navigant continuellement). Avec la vieillesse, la fermeté de la coque est compromise par la corrosion (rouille, électrolyse), l'osmose, multiple réactions chimiques dans les mastics et colles, la pourriture, ou les xylophages, et il devient trop risqué de faire naviguer le bateau. Celui-ci a la possibilité de couler en mer, oublié comme débris ou mis à la casse pour démolition. Il peut aussi être recyclé pour former une digue près d'un port ou comme navire-musée.

Un avenir prématuré peut l'attendre sous l'aspect d'une fortune de mer: deu, choc, échouement ou renversement peuvent entraîner une perte entière du bâtiment ou nécessiter d'importantes réparations en cale sèche. D'un second côté, il peut être protégé notamment s'il a une grande valeur: c'est quelquefois le cas des grands voiliers; ces navires représentent leur pays ou région originaire dans de manifestations nautiques en servant « d'ambassadeurs ».

Finalement, beaucoup de bateaux détruits ou perdus « survivent » malgré tout pour les personnes qui y étaient attachés grâce à des esquisses ou des amulettes: plein d'objet symboliques sont conservés, tel une ancre, une plaque d'identification, une pièce d'accastillage ou la clochette du bord.



Les multiples usages des embarcations dans le champs militaire

Les navires de guerre contemporains sont répartis en plusieurs types de navires qui sont conformes à leurs capacités militaires, leurs déplacements et leurs fonctions. Les plus courants sont les patrouilleurs, les corvettes, les frégates, les destroyers et les croiseurs. Ils composent "l'épine dorsale" des marines contemporaines. Les porte-aéronefs et les porte-hélicoptères mais particulièrement les porte-avions ont des dimensions formidables. Les porte-avions peuvent mesurer jusqu'à 330 mètres, charger 100 000 tonnes et charger plus d'une soixantaine . Sous la mer les sous-marins nucléaires d'attaque, les sous-marins nucléaires lanceurs de machines ont une autonomie presque infinie, et celle des bathyscaphes à propulsion artificielle Diesel/électrique n'a plus rien à voir avec la petite autonomie des sous-marins Les navires de débarquement ont la possibilité d'embarquer un état major, transporter des aéronefs, des unités, des chars et des véhicules ainsi que des appareils de débarquement, en particulier aéroglisseurs. Ils sont capables d'avoir une capacité de bateau hôpital.

D'autres navires ne sont pas forcément assignés au combat mais sont employés par les forces navales: chasseurs de mines, collecteurs de renseignements, pétroliers-ravitailleurs d'escadres et bâtiments de soutien logistique, bateaux et voiliers d'exercice dans les instituts navales. Dans certains pays, l'État garantit pareillement des missions scientifiques (hydrographie, océanographie) grâce à des bâtiments armés par sa flotte militaire. Bref, la flotte a également souvent une mission de surveillance et de protection des limites maritimes assurée par des navires patrouilleurs, dits navires de souveraineté.

Les bâtiments de conflit ont généralement des formes de carènes sveltes et des engins combinant une grande vitesse, une bonne agilité de changement d'allures et un grand rayon d'action. Ils doivent être très manœuvrants. Ils employent des systèmes de transmission la plupart du temps satellitaires, aussi des systèmes cybernétiques dédicacé au pilotage et à la conduite de l'arsenal, des missiles et des projectiles, tout cela embarqué dans un domaine étroit avec des équipages de toujours moins nombreux et dont la tendance est à la réduction à bord des bâtiments à venir afin d'en diminuer le coût de possession.


La valeur d'un bateau chez les anciennes civilisations

L'être humain a longtemps pensé l'eau comme la frontière envers le royaume de ses créateurs, et le navire est évidemment l'instrument qui permet d'aller envers l'au-delà. Les Égyptiens, civilisation fermement fluviale où le Nil remplit la place prédominante, joignent l'empire des morts embarqués dans une barque fluviale. La barque solaire en est l'échantillon le plus célèbre. On parle également de navire tombe lorsqu'il sert à enterrer un homme: les Vikings célèbrent leur morts en les enterrant avec leur bateau dans un tumulus. Le navire de Gokstad en est l'un des échantillons les plus célèbres, mais pareillement ceux des tombes royales du Vestfold, au bord du golfe d'Oslo, à Tune ou à Oseberg.

Les appellations de navires sont également chargés de sens: résultant la plupart du temps d'une décision du propriétaire, le modifier n'est pas obligatoirement bon signe. On trouve ainsi des dénominations glorieuse pour des bateaux de conflit (le Téméraire), des dénominations de dames en leur respect , des références à des personnes célèbres, et bien habituellement des noms de poissons ou d'oiseaux marins. Depuis peu, le monde du concours a vu les appellations des navires représenter ceux de leurs parrains. Les navires commerciaux bâtis en série ont quelquefois aussi des noms en série (comme la CMA-CGM qui utilise des dénominations d'opéras pour ses porte-conteneurs). Le baptême d'un bateau se fait la plupart du temps exactement avant son lancement, en la compagnie d'un parrain ou d'une marraine.

La superstition enfin n'est pas perdue du monde des bateaux. L'animal à longues oreilles, cousin du lièvre, dont l'appellation ne doit point être prononcé à bord d'un bateau en est l'exemple le plus populaire.